Le Canada n’a pas besoin d’une politique de l’alimentation.
Le Canada n’a pas besoin d’une politique de l’alimentation.
Même si nous tenons les supermarchés pour acquis, notre accès à une telle quantité et variété de produits alimentaires sur demande et à n’importe quel moment de l’année est absolument remarquable. Ce « miracle » est d’autant plus impressionnant qu’il est le fruit de la collaboration spontanée et volontaire entre des milliers, voire des millions de personnes, qui ne se rencontreront pour la plupart jamais. Ce cahier examinera l’évolution historique et le fonctionnement actuel des supermarchés et des nombreux intermédiaires qui les approvisionnent en utilisant la grille d’analyse de l’école autrichienne d’économie.
Conférence en compagnie du professeur Pierre Desrochers.
Panel de discussion en compagnie de Pierre Desrochers et de Kevin Brookes.
Des groupes écologistes prétendent que l'exploitation forestière compromet l'avenir de la forêt ainsi que la survie des espèces qui l'habitent. Cette image correspond-elle bien à la réalité de l'exploitation de la forêt au Québec? Les données globales n'indiquent aucun recul de la forêt. Au contraire, le couvert forestier a légèrement augmenté entre le premier inventaire forestier en 1979 et le plus récent en 2002.
L'industrie pétrolière et l'environnement.
La notion de « kilomètres alimentaires ».
Le concept de souveraineté alimentaire.
11 octobre 2012 | 9 min. | Y a pas deux matins pareils (SRC-Radio – Toronto) Débat entre le professeur Pierre Desrochers, […]
11 octobre 2012 | 7 min. 15 sec. | The Rutherford Show (AM 770 – Calgary) Entrevue (en anglais) avec le professeur […]
L'objectif de ce Cahier de recherche est double. La première partie examine l'expérience historique et illustre comment les sources habituelles de combustibles liquides (considérées comme « propres ») étaient tout sauf propres lorsqu'on a commencé à les développer.
Le concept d’achat local exprimé sous forme de «kilométrage alimentaire».
Y a-t-il une pénurie de logements au Québec?
Le marché et l’environnement.
Le marché et l’environnement.
Le mouvement en faveur de l’achat local de denrées alimentaires a pris beaucoup d’ampleur ces dernières années, autant au Québec qu’ailleurs dans le monde. Au-delà des arguments économiques traditionnels relevant d’une certaine forme de protectionnisme, c’est la question environnementale qui semble aujourd’hui motiver beaucoup de groupes et de citoyens à promouvoir une réduction des «kilomètres alimentaires» (food miles). On prétend qu’en décourageant les consommateurs d’acheter des aliments transportés sur de longues distances, moins d’énergie sera dépensée – et moins de gaz à effet de serre (GES) seront conséquemment émis –, ce qui contribuera à minimiser la dégradation de l’environnement.
Le phénomène de la simplicité volontaire.
Publication d’un Cahier de recherche sur le recyclage des déchets industriels dans une économie de marché.
Publication d’un Cahier de recherche sur le recyclage des déchets industriels dans une économie de marché.
Plusieurs intellectuels et militants écologistes soutiennent que la recherche du profit aurait de tout temps incité les industriels à rejeter leurs résidus dans la nature plutôt qu'à chercher à les transformer en produits utiles et à réduire par le fait même la pollution résultant de leurs opérations. Dans ce contexte, seule une réglementation gouvernementale toujours plus contraignante permettrait d'amoindrir l'impact environnemental de l'activité économique.
Most authors still believe that the search for increased profitability has traditionally been incompatible with this goal because it favours a short-term perspective in which manufacturers tend to lower their costs by dumping polluting emissions into nature. This view, however, is based on a historically inaccurate assessment. Not only are higher profits and a cleaner environment compatible, but much historical evidence suggests that industrial recycling is a long-practised, productive and, indeed, essential element of the market system.
Les effets de la réglementation sur le recyclage des ressources.
Le recyclage des ressources dans les pays communistes et capitalistes.
Les interventions politiques en faveur des industries sont souvent nuisibles à l’environnement.
Selon ce qu'avancent des chercheurs universitaires et des groupes de pression, la crise du logement qui frappe les principales régions métropolitaines du Québec aurait été provoquée par l'appauvrissement de la population, par la réduction des budgets à la construction de logements sociaux ou encore par l'incapacité des entrepreneurs privés à s'adapter aux nouveaux modes de vie des Québécois. Les données les plus récentes nous indiquent toutefois que ces explications ne tiennent pas la route.
L’appât du gain a permis de réduire la pollution dans l’Angleterre victorienne.
L’IEDM publie une étude sur la protection de l’environnement dans une économie de marché.
L’IEDM publie une étude sur la protection de l’environnement dans une économie de marché.
On entend régulièrement l’affirmation selon laquelle la croissance des économies de marché aurait irrémédiablement dégradé la planète. Or l’examen des statistiques officielles nous apprend non seulement que le niveau de vie et l’état de l’environnement sont bien meilleurs dans les pays avancés que dans les économies sous-développées, mais également que l’on observe des progrès notables dans ces dernières depuis quelques décennies.
L’appât du gain permet de reduire la pollution.
Comment expliquer le coût élevé de l’essence au pays?
La pénurie de logements abordables au Québec fait les manchettes depuis maintenant plus de deux ans. Cette année encore, lors de la période de déménagement précédant le 1er juillet, nos concitoyens ont été copieusement abreuvés d’images choquantes, de querelles de chiffres, de déclarations aussi passionnées que contradictoires, d’énoncés de politiques, de résumés d’études académiques et de reportages sur les conditions de logement dans d’autres régions du monde. Il manquait cependant un énoncé accessible, mais relativement complet, des principaux enseignements de la science économique quant aux causes profondes de cette crise. C’est à cette tâche que s’est attelé notre directeur de la recherche (et lui-même locataire), M. Pierre Desrochers.
La «crise du logement» au Québec et la position de l’IEDM.
La nouvelle stratégie de lutte contre la pauvreté et l’exclusion du gouvernement Landry.
Le libre marché et l’environnement.
L’étalement urbain est-il une catastrophe écologique et économique?
La forêt occupe une place importante dans la vie des citoyens du Québec. Sur le plan économique, ce secteur d'activité génère près de 90 000 emplois directs auxquels se rattachent des salaires de 3,2 milliards de dollars. Certains commentateurs s'inquiètent toutefois du sort réservé à nos forêts. Qu'en est-il réellement? Serons-nous bientôt confrontés à une pénurie de bois? Une intervention accrue des pouvoirs publics est-elle susceptible de mener à une utilisation plus durable de la forêt québécoise?
Note économique de l’IEDM sur la gestion de la forêt québécoise.
Le gouvernement québécois encourage depuis la fin des années 1990 les entreprises oeuvrant dans un même domaine à déménager à l’intérieur de zones désignées au moyen d’exemptions fiscales qui coûteront plus de 2 milliards de dollars au cours de la prochaine décennie. Cette politique des «cités industrielles» vise principalement à créer des synergies entre les entreprises et à revitaliser certains secteurs urbains. Elle ne repose toutefois sur aucune analyse détaillée.
L’expansion de la banlieue n’est pas une menace.
L’expansion de la banlieue n’est pas une menace.
La pertinence des cités industrielles.